Géographie complète et universelle : illustrée de 50 gravures, 8 cartes, 5 planches et du portrait de l'auteur. Tome quatrième Auteur(s) : Malte-Brun, Conrad (1775-1826) Auteurs secondaires : Malte-Brun, Victor-Adolphe (1816-1889) Année de publication : Éditeur(s) : Paris : Morizot Résumé : Nouvelle édition Description : Nouvelle édition continuée jusqu'à nos jours, d'après les documents scientifiques les plus récents, les derniers voyages et les dernières découvertes par V.-A. Malte-Brun fils,... Droits : Domaine public Provenance : Collectivité territoriale de Guyane. Bibliothèque Alexandre-Franconie Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/FRA11196 FRA11196 | Partager |
Tourisme et socio-économie dans les espaces ruraux au Cameroun : entre survivances culturelles et mutations Auteur(s) : Jacques, Yomb Tagne Robert, Tefe Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Dans un monde essentiellement mouvant et dynamique et dont les stratégies de développement sont tout aussi diverses, le monde rural ne reste pas à la traine. Les espaces ruraux qui sont par essence des lieux de survivances culturelles ont de la peine à construire des stratégies de développement par des replis identitaires dans un contexte de mondialisation et marqué particulièrement par une indigence notoire. Dans ce contexte, le tourisme qui demeure une situation de rente pour les ruraux est influencé par de profondes dynamiques exogènes. L’objectif de ce travail est donc d’évaluer le lien social entre les acteurs inscrits dans le développement du tourisme en milieu rural. La problématique est soutenue par les interrogations suivantes : comment résister aux conduites modernes des touristes en milieu rural dans un contexte de mondialisation ? Les modes de vie des touristes en milieu rural sont-ils autant compatibles avec ceux des locaux ? Comment les touristes influencent-ils les modes de vie des acteurs ruraux au point d’en provoquer des innovations socio-économiques ? Le cadre théorique est essentiellement axé sur la théorie du lien social axé sur la finalité de l’échange. La méthode est qualitative, car il est question dans cette étude de ressortir les interactions entre les acteurs en présence dans la problématique du tourisme. Les résultats montrent que : a) le tourisme en milieu rural est une source de rente pour les locaux, b) il y a une innovation dans la gestion des temps traditionnelles, c) les sources de revenus ne sont plus seulement issues de la production agricoles, mais aussi des services, d) les modes de vie des ruraux sont profondément modifiés par les dynamiques portées par les touristes. In a changing world whose development strategies are diverse, the rural world is not left behind. Rural areas that essentially represent cultural resilience sites are challenged in building development strategies in a globalized world characterized by notorious poverty. In this context tourism, which remains an economic rent for rural, is influenced by exogenous conditions. This paper aims to analyze the social bond between the players enrolled in the development of rural tourism. The analytic process is supported by the following questions: How to resist the modern behaviour of rural tourists in a globalization context? Are the lifestyles of rural tourists compatible with locals? How do tourists influence the lifestyle of rural stakeholders to the point of causing socio-economic innovations? The theoretical framework focuses mainly on the theory of social ties focusing on the purpose of exchange. The method is qualitative, as this study highlights the interactions between the stakeholders. The results show that: a) Rural tourism is a source of income for locals; b) there is an innovation in managing traditional time; c) sources of income are not only from agricultural production but also from services; d) rural lifestyles are profoundly changed by the dynamic brought by tourists. Cameroun Kribi Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.8820 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/8820 | Partager |
Tourisme et ressources naturelles Auteur(s) : Anfuso, Giorgio Augier, Dominique Avilés-Maldonado, Giselle Binet, Thomas Borot de Battisti, Adeline D. Den Haring, Sander Dehoorne, Olivier Ergin, Aysen Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Ce numéro de la Revue Études Caribéennes s’intéresse aux liens qui unissent et opposent l’activité touristique et les ressources naturelles, particulièrement dans les pays du Sud. Dans un contexte de médiatisation accrue des enjeux liés à la biodiversité et aux menaces qui pèsent sur elle, le tourisme – et particulièrement l’écotourisme – est souvent présenté comme un moyen de concilier la conservation et le développement. Les autorités locales, malgré l’existence d’un cadre réglementaire propre à l’environnement, ne disposent souvent pas de moyens suffisants (humains, matériels et financiers) pour gérer la croissance de la fréquentation des aires protégées et ses effets potentiels sur l’environnement naturel et humain. En réponse à cette problématique, les institutions financières internationales et les organismes associés proposent aux pays du Sud de trouver un équilibre entre une fréquentation de masse et une fréquentation de bas volume afin de développer « un tourisme de haute qualité ». Même si cela était possible, quels critères peuvent être utilisés pour « cesser » le développement d’un pôle ou d’une région touristique ? L’évolution géographique « naturelle » du tourisme – c’est-à-dire essentiellement basée sur la mise en tourisme de la nature et sur l’accessibilité de ces ressources – pose déjà des problèmes politiques et économiques importants. Les gouvernements (central, régional ou local) sont difficilement en mesure de réaliser un arbitrage de long terme dans ce contexte qui permettrait l’adéquation entre le développement touristique et la préservation des espaces naturels. La relation entre le tourisme et les ressources naturelles s’articule souvent autour de deux objectifs spécifiques, soient : développer un produit à moindre impact, mais aux dépenses élevées et viser un volume de visiteurs qui contribue aux profits économiques, mais qui amène le moins de dégradation écologique/sociale possible. Cette position résume à elle seule à la fois la complexité et les multiples paradoxes dans lesquels s’insère la mise en tourisme de la nature. Les dynamiques sociales et l’extension de l’appropriation privative des espaces naturels et agricoles posent la problématique des modes de gestion des ressources communes et de leur pérennité, particulièrement dans les pays du Sud. Dans ce contexte, les objectifs, les ressources et les stratégies des principaux acteurs concernés sont difficilement conciliables et le système de relation qu’il induit n’est pas nécessairement en phase avec les finalités poursuivies. This edition of Revue Etudes Caribéennes focuses on the links that unite and oppose tourism and natural resources, specifically in southern countries. In a context of increased media coverage of issues related to biodiversity (including threats to it), tourism – particularly ecotourism – is often presented as a mean to reconcile conservation and development. Local authorities, despite the existence of a specific environmental regulatory framework, often have insufficient resources (human, material, financial) to manage the increase of visits to protected areas, and the potential impact of these visits on natural and human environments. In response to this problem, international financial institutions and associated organizations offer to try to find a balance between mass attendance and low volume attendance in order to develop "high quality tourism" in southern countries. Even if this were possible, what criteria can be used to "stop" the development of a tourist site or region for environmental reasons? The “natural” geographic evolution of tourism – in other words, essentially based on the development of nature tourism and accessibility of these resources – already causes huge political and economic problems. Governments (central, regional or local) are hardly able to arbitrate over the long term in a context that would allow finding a balance between tourism development and preservation of natural areas. The relationship between tourism and natural resources often revolves around two specific objectives: to develop a product with less impact, but at high cost and a target volume of visitors that contributes to economic profits, but that causes the least ecological / social degradation possible. This position epitomizes both the complexity and the many paradoxes of nature tourism development. Social interactions and the expansion of private appropriation of natural and agricultural areas highlight the challenges of managing common resources and their sustainability, especially in the southern countries. In this context, development objectives, natural resources and the strategies of key stakeholders are difficult to reconcile, and the relationship between leading actors do not always correspond with these objectives. Esta edición de “Revue Études Caribéennes” se interesa a los lazos que unen y separan la actividad turística y los recursos naturales, particularmente en los países del sur. En un contexto de mediatización en alza sobre los objetivos ligados a la biodiversidad y a las amenazas que pesan sobre ella, el turismo – y particularmente el ecoturismo – está a menudo presentado como un medio de conciliar la conservación y el desarrollo. Las autoridades locales, pese a la existencia de un cuadro propio de reglamentación al medio ambiente, no disponen habitualmente de suficientes medios (humanos, materiales y financieros) para controlar el aumento de visitas en las áreas protegidas y sus efectos potenciales sobre el ambiente natural y humano. En respuesta a esta problemática, las instituciones financieras internacionales y los organismos asociados proponen a los países del sur encontrar un equilibrio entre la frecuentación de masas y una frecuentación de bajo volumen con el objetivo de desarrollar “un turismo de alta calidad”. Incluso si fuese posible, ¿qué criterios podrían ser utilizados para “cesar” el desarrollo de un centro o una región turística? La evolución geográfica “natural” del turismo – esencialmente basada en el desarrollo del turismo de la naturaleza y el acceso de sus recursos – crean problemas políticos y económicos enormes. Los gobiernos (central, regional o local) tienen dificultades para realizar un arbitraje a largo plazo en este contexto que permitiría la adecuación entre el desarrollo turístico y la preservación de los espacios naturales. La relación entre el turismo y los recursos naturales se articula a menudo alrededor de dos objetivos específicos, sean: desarrollar un producto con mínimo impacto, pero con gastos elevados y aspirar a un volumen de visitantes que contribuya a las ganancias económicas, pero que traiga la menor degradación ecológica/social posible. Esta posición resume la complejidad y las múltiples paradojas en las cuales se encaja la puesta del turismo en la naturaleza. Las dinámicas sociales y la extensión de la apropiación privativa de los espacios naturales y agrícolas plantean una problemática en los modos de gestión de los recursos comunes y de su perennidad, particularmente en los países del sur. En este contexto, los objetivos, los recursos y las estrategias de los principales actores concernidos son difícilmente conciliables y el sistema de relación que induce no es necesariamente en la misma fase con los objetivos perseguidos. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7884 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7884 | Partager |
Voyage à Surinam et dans l'intérieur de la Guiane contenant La Relation de cinq Années de Courses et d'Observations faites dans cette Contrée intéressante et peu connue ; avec des Détails sur les Indiens de la Guiane et les Négres. Suivi du tableau de la colonie française de Cayenne. Tome troisième Auteur(s) : Stedman, John Gabriel (1744-1797) Auteurs secondaires : Henry, Pierre François (1759-1833) Année de publication : Éditeur(s) : Paris : F. Buisson Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : Domaine public Provenance : Evêché de Guyane Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/FRA11137 FRA11137 | Partager |
Voyage à Surinam et dans l'intérieur de la Guiane, contenant La Relation de cinq années de courses et d'observations faites dans cette contrée intéressante et peu connue, avec des détails sur les Indiens de la Guiane et les Nègres : suivi du Tableau de la Colonie française de Cayenne. Tome troisième Auteur(s) : Stedman, John Gabriel (1744-1797) Auteurs secondaires : Henry, Pierre François (1759-1833) Année de publication : Éditeur(s) : Paris : F. Buisson Extrait de : Voyage à Surinam et dans l'intérieur de la Guiane, contenant La Relation de cinq années de courses et d'observations faites dans cette contrée intéressante et peu connue, avec des détails sur les Indiens de la Guiane et les Nègres : suivi du Tableau de la Colonie française de Cayenne. Résumé : An VII de la République ( 1798 ou 1799 ) Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : Domaine public Provenance : Ville de Pointe-à-Pitre. Réseau des bibliothèques Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/PAP11060 PAP11060 | Partager |